Baobab Lab, c’est l’histoire d’un traiteur pas comme les autres. Lorsque Salim Lahlou a fondé son entreprise, c’était indispensable qu’elle soit cohérente avec ses valeurs : l’engagement et le respect de la planète. Baobab Lab, c’est un traiteur créatif et écoresponsable, qui propose à ses clients une cuisine originale et la plus “zéro déchet” possible. CASTALIE est fière d’accompagner Salim et toute son équipe dans cette démarche plus que vertueuse !
Pourquoi avoir choisi CASTALIE ? Comment Baobab Lab concilie fontaine à eau et service traiteur ? Quelles initiatives sont mises en place pour minimiser au maximum leur impact écologique ? Salim Lahlou et Elora Charasson, Responsable communication, ont répondu à nos questions 🍽 🌎
Quelle solution d’eau proposiez-vous avant de choisir CASTALIE ?
Lorsque nous sommes nés en 2017, nous avons fait le choix de ne faire que du vert, pour tout. Que ce soit boire un verre d’eau, manger une verrine, avoir un couvert en inox, un plateau en bambou… L’idée était d’avoir le moins de jetable possible. Côté eau, à l’époque, nous travaillions avec une marque d’eau minérale et d’eau gazeuse, nous achetions des bouteilles en verre consignées par pack de 12, de 75 centilitres. Parfois, certains clients exigeaient des bouteilles en plastique, parce qu’ils trouvaient ça plus pratique… Aujourd’hui, avec la consigne, ce sont des coûts de reprise car nous facturons l’aller et le retour. Donc sur le poste livraison, nous sommes moins compétitifs qu’un traiteur classique et moins engagé, car nous, nous avons du matériel à récupérer. Mais en termes de prix, nous sommes à peu près alignés sur ceux du marché, avec des produits de meilleure qualité.
Quel volume de bouteilles d’eau consommiez-vous par mois ?
Nous consommions facilement 200 à 300 bouteilles par mois. Aujourd’hui, c’est à peu près les mêmes chiffres avec CASTALIE donc c’est un investissement certes, mais c’est un investissement rentable. Nous avons aussi la possibilité de faire des gestes commerciaux grâce à ça, d’offrir l’eau par exemple, donc c’est bien.
Comment cela se passe-t-il au niveau de la logistique ?
Pour nous, c’est une super solution, en interne d’une part, pour les collaborateurs car c’est très simple pour eux de remplir une bouteille à la fontaine et de la poser dans le labo de cuisine. On peut également se servir au verre donc c’est super.
Pour la partie client, nous remplissons nos bouteilles dès que l’on a des demandes. Parfois la veille, pour ce qui est de l’eau plate, et ça se passe très bien, on est très content ! Lorsque nous sommes sur un évènement client, les gens s’interrogent souvent sur la bouteille donc c’est générateur de discussion, c’est un bon sujet de conversation où l’on peut parler de nos engagements communs.
Pourquoi avez-vous choisi CASTALIE ?
Il y a d’autres acteurs sur le marché, mais je fonctionne beaucoup au feeling. Lors de la mise en œuvre du projet, je voyais en CASTALIE une structure qui allait aller très loin dans ses engagements, et pas uniquement un service de mise à disposition de fontaines en location et d’entretien. Il y a une proximité, une écoute, une réactivité, un support qui est top… Dès qu’on a un souci, on peut se faire aider au téléphone pour faire des manipulations simples, donc c’est un tout ! Toute la partie service est très convaincante.
Combien possédez-vous de fontaines et quels types de contenants proposez-vous ?
Nous avons la grande Casta avec eau plate (fraîche et tempérée) et eau pétillante. Côté contenants, nous fonctionnons avec des bouteilles en verre CASTALIE personnalisées.
La solution CASTALIE répond-elle à vos problématiques métier ?
Oui, tout d’abord parce qu’en interne, c’est convivial : on se retrouve autour de la fontaine pour boire un verre d’eau, c’est un coin de rencontres ! Pour la partie traiteur, il faut réadapter sa logistique et la mise en œuvre car il faut anticiper le remplissage des bouteilles mais in fine, on a une qualité de service très différente.
Un buffet avec des bouteilles d’eau minérale en plastique ou en verre n’a pas le même effet qu’un buffet avec des bouteilles brandées Boabab Lab, avec une histoire et des engagements. Lorsque nous en discutons avec les clients, ils reconnaissent que c’est une bonne action et une très bonne dynamique ! Donc au delà du côté opérationnel il y a le résultat, et le résultat est très bon.
Avez-vous mis en place d’autres initiatives pour développer votre démarche RSE ?
En ce qui concerne notre démarche RSE, nous avons mis en place une nouvelle offre, la cantine connectée, et nous proposons des frigos connectés. Nous avons développé une technologie pour pouvoir doter les frigos d’une intelligence.
Concrètement, comment cela se passe ? Nous installons nos frigos dans les entreprises, on livre du lundi au vendredi des entrées / plats / desserts, les collaborateurs y ont accès 24/24 et 7/7 de façon très fluide et très intuitive. De notre côté, nous avons accès à distance et en tant réel au frigo pour gérer l’approvisionnement, la prise de température, les DLC, etc. C’est très complet. En fait, on fait la même chose que tout le monde, on propose des frigos et on les remplit, mais la grande différence est que nous cuisinons tous les repas et d’autre part, on a un partenariat avec Phénix, leader anti-gaspi en Europe. Cela permet aux collaborateurs de ne pas faire de gaspillage, grâce à une notification à l’approche des fin de DLC par exemple. Pour éviter les allers-retours, les émissions de CO2, on engage les salariés à lutter contre le gaspillage au sein même de leur entreprise.
Nous proposons tous nos plats dans des contenants consignés, des bocaux en verre par exemple, que nous récupérons à la fin de la semaine. C’est une démarche zéro déchet, comme si les salariés amenaient leur propre contenant.
On essaye d’être le plus cohérent possible et d’être dans une dynamique circulaire au maximum, plutôt que linéaire, qui est très destructrice.
Avez-vous d’autres projets engagés chez Baobab Lab ?
Oui, le passage au véhicule électrique ! Mais cela va être un énorme investissement à notre niveau. C’est dans nos prévisions. On souhaite également partager nos cuisines avec d’autres acteurs pour permettre de diviser les coûts d’infrastructures et de faire profiter des personnes qui ont besoin d’un lieu de travail équipé. Au lieu de construire plein de petits labos, nous préférons en avoir un gros avec une belle communauté dedans !
Nous avons également pour projet de faire un petit potager dans notre labo, car on a un petit jardin. Et ensuite, continuer à revaloriser nos biodéchets. Par exemple, l’année dernière, on a créé plus de 800 kilos d’engrais naturel !
Texte : Jeanne Favas Crédits : Baobab Lab